Dix ans après la crise économique de 2008, les villes fantômes continuent d’hanter le territoire espagnol.
Des dizaines de communes sont laissées complètement à l’abandon par la population incapable financièrement de s'y loger.
![Un hélicoptère emmène une mère et son bébé sauvés par l'ONG Proactiva Open Arms au large de la Libye le 21 décembre 2018. [Olmo CALVO / AFP]](https://static.cnews.fr/sites/default/files/styles/image_200_112/public/764908df17d18e84cb671fa7642f28a693c54f87.jpg?itok=sVmUdcEQ "Un hélicoptère emmène une mère et son bébé sauvés par l'ONG Proactiva Open Arms au large de la Libye le 21 décembre 2018. [Olmo CALVO / AFP]")
Quelques villes tentent néanmoins de reprendre vie comme à Valdeluz à quelques kilomètres au Nord de Madrid.
![Des responsables du parti d'extrême droite espagnol Vox, dont son chef Santiago Abascal, à Séville, le 3 décembre 2018. [JORGE GUERRERO / AFP]](http://static.cnews.fr/sites/default/files/directmatin/image_placeholder_rect_basic.gif "Des responsables du parti d'extrême droite espagnol Vox, dont son chef Santiago Abascal, à Séville, le 3 décembre 2018.
[JORGE GUERRERO / AFP]")