Après plus de trente ans de bons et loyaux services consacrés au septième art, Christophe Lambert joue désormais la carte du coup de cœur dans le choix de ses films, en France comme aux Etats-Unis.
Après l’avoir vu le crâne rasé et le corps couvert de tatouages dans Ghost Rider 2, c’est en père de famille amoureux de la nature et des chevaux qu’il revient, dans Ma bonne étoile, le deuxième film d’Anne Fassio. Une leçon de vie dont les valeurs positives ont su séduire un acteur aussi humble qu’enthousiaste.
Le film, comme votre personnage, respire l’optimisme. Est-ce cet état d’esprit qui vous a fait accepter ce rôle ?
Christophe Lambert : Une phrase résume bien le film et son état d’esprit : «on avait tout contre nous, et pourtant...». Il est basé sur des vraies valeurs, trop souvent dévoyées au ciné¬ma. Ici, les sentiments ne sont pas superficiels, survolés. Mon personnage, comme ceux de Fleur Lise et Claude Brasseur, est un adepte de la solidarité. Il croit en la bonne étoile qu’on a tous.
Comment se déroule un tournage où les chevaux sont omniprésents ?
Ça demande une attention particulière. Un peu comme les enfants, le cheval a besoin de patience et de compréhension, de temps de repos. Pour Marquise, la jument de Fleur, il y avait en fait quatre chevaux qui jouaient, selon leurs aptitudes, la scène demandée.
Vous jonglez désormais entre le cinéma et l’écriture. A quand votre prochain livre ?
Je suis actuellement en cours d’écriture d’un nouveau roman. Mais entre la famille, le tournage, puis la promo du film, il ne va pas sortir tout de suite !
Ma bonne étoile, d’Anne Fassio. Avec Christophe Lambert, Fleur Lise et Claude Brasseur. En salles.