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Tristan Séguéla, ses premiers pas sur grand écran

[Roger Do Minh]

Grand fan du film «Les sept mercenaires» (1960), avec l’acteur Yul Brynner, qu’il a visionné des dizaines de fois pendant son enfance, Tristan Séguéla s’est très tôt intéressé au septième art.

 

N’ayant pas fait d’école de cinéma, le fils du publicitaire Jacques Séguéla s’essaie à la réalisation en signant un faux documentaire baptisé Pierre 41. Diffusée en 2007 sur Canal+, cette fiction narre le récit d’un homme qui a arrêté de vieillir à seulement quarante et un ans.

Le jeune passionné collabore ensuite avec la chaîne télévisée Arte en travaillant sur la série Twenty Show. Celle-ci dresse le portrait d’une génération d’internautes, âgés d’une vingtaine d’années, avec des vidéos réelles ou fictionnelles.

En 2011, Tristan Séguéla se fait de nouveau remarquer avec Smash, une série humoristique de courts-métrages conçus autour de DJ Martin Solveig et du phénomène de la danse music. Le producteur Mikaël Abécassis le repère et lui propose l’histoire de 16 ans ou presque.

Tristan Séguéla voit son rêve se concrétiser. «C’était la première fois que je lisais un scénario avec pour perspective de le mettre en scène, explique le réalisateur. Le pari du film était de faire un teen movie, avec tous ses codes de comédie régressive, et d’en confier le rôle principal à un adulte. Aujourd’hui, je suis vraiment heureux quand je vois le résultat».

 

 

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