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Avatar 2 : James Cameron dévoile des images folles du tournage

Avatar 2 a été tourné en grande partie sous l’eau. [© Capture d'écran / EW.com]

Dans un an, James Cameron présentera «Avatar 2» au public. Une suite que le réalisateur annonce comme «folle», tant les moyens déployés sont colossaux. Et dont il vient de donner un aperçu.

Le site américain Entertainment Weekly a eu l’exclusivité de la publication de quatre photos de tournage de la suite du premier volet sorti en 2009, et qui reste, encore aujourd’hui, le film le plus rentable de l’histoire du cinéma. Un succès qui a permis à James Cameron de laisser libre cours à son imagination dans les quatre suites qu’il prépare. «Le processus semble un peu délirant. Je veux dire, si Avatar n'avait pas rapporté autant d'argent, nous n'aurions jamais fait ça - parce que c'est assez fou», confie-t-il.

L’histoire d’Avatar 2 se déroulera 14 ans après les événements du premier opus, et suivra l’histoire de Jake Sully (Sam Worthington) et Neytiri (Zoe Saldana), et de leurs enfants sur Pandora. Ainsi que la menace que représente la Resources Development Administration (RDA), une organisation non gouvernementale qui souhaite exploiter les richesses de Pandora. Avec une large portion de l’action se passant sous l’eau. Comme le démontre les images publiées par Entertainment Weekly.

Le tournage dans un bassin gigantesque n’a pas été de tout repos, et c’est Kate Winslet - qui a rejoint le casting où elle incarnera le personnage de Ronal de la tribu des Metkayina - qui a battu le record de temps passé en apnée sur un tournage de film, autrefois détenu par Tom Cruise, avec 7 minutes au chrono.

Une histoire familiale

Avatar 2 n’est que le premier d’une série de films qui viendront se greffer à la suite, avec un troisième volet prévu pour le 18 décembre 2024, puis un quatrième et un cinquième film pour 2026 et 2028. «Les suites sont une histoire à propos de la famille, et les efforts déployés par les parents pour maintenir cette famille ensemble et en sécurité», précise le producteur John Landau.

Pour James Cameron, l’espoir est de voir toutes ces années de préparation et de travail acharné porter leur fruit sur grand écran. Même s’il a conscience que les bouleversements dans les modes de visionnage – avec le streaming – couplés à la crise sanitaire mondiale pourraient interférer dans le succès de ses films.

«La grande question est : est-ce qu'on va se faire de l'argent ? Les grands films coûteux doivent rapporter beaucoup d'argent. Nous sommes dans un nouveau monde post-COVID, post-streaming. Peut-être que ces chiffres [du box-office] ne seront plus jamais revus. Qui sait ? Tout ça est un grand coup de poker», lance-t-il avec lucidité.

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