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Mélenchon visé par l’enquête préliminaire

Jean-Luc Mélenchon a démenti être impliqué dans un tel système. [GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP]

Le leader de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, est à son tour visé par l’enquête sur les soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen.

A la suite d’un signalement de l’eurodéputée FN Sophie Montel, le Parquet de Paris a en effet élargi ses investigations aux activités de Jean-Luc Mélenchon, eurodéputé de 2009 à 2017. Quatre de ses anciens assistants, dont l’un est décédé, sont également visés.

Les enquêteurs cherchent à savoir si les fonds européens destinés à l’embauche d’assistants ont été détournés pour rémunérer en réalité des salariés de leur parti politique. Après un premier signalement, le parquet de Paris avait ouvert le 22 mars dernier une enquête préliminaire pour «abus de confiance» visant une vingtaine d’eurodéputés de tous bords.

Lors d’un point presse à l’Assemblée nationale ce mardi 18 juillet, Jean-Luc Mélenchon a démenti avoir été impliqué dans un tel système. «Aucun de mes assistants n’a jamais exercé aucune responsabilité politique ni à l’intérieur du Parti de gauche, ni pour la France Insoumise, jamais aucun de toute la période du Parlement européen, donc je ne sais pas pourquoi on me cherche noise», a-t-il ainsi déclaré. 

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