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La folle activité sexuelle des athlètes olympiques

HopeSolo La gardienne de but de l'équipe américaine de football.[DREW HALLOWELL / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP]

Aux Jeux Olympiques, les performances ne sont pas que sportives, mais aussi sexuelles. C'est en tout cas ce que certifie l'athlète américaine Hope Solo.

C’est ce qu’avance la chaîne américaine ESPN qui affirme, enquête à l'appui, que les villages olympiques sont souvent les théâtres de véritables orgies.

D’après les témoignages d’athlètes, cette pratique est courante. Selon Hope Solo, gardienne de l’équipe de football américaine, « 70 à 75% des athlètes présents » se livreraient aux plaisirs charnels.

Un cocon

D’après la médaillée d’or 2008 à Sidney, « les Olympiens sont jeunes, en excellente santé et se retrouvent soudain dans un cocon où ni les journalistes indiscrets ni les parents protecteurs ne sont autorisés », explique-t-elle sur ESPN.

 Hope Solo / Ampatement

« La testostérone est à son maximum de même que l’énergie des athlètes affûtés pour la compétition » poursuit-elle. D’autres athlètes ont témoigné d’une ambiance de campus universitaire où les « gens sont beaux ».

"Ce qui se passe au village, reste au village"

D’après la chaîne américaine, près de 100 000 préservatifs seront mis à la disposition des athlètes au village olympique de Londres. C’est beaucoup plus que les 70 000 unités livrées à Sidney en 2008. Avec 10.500 sportifs attendus à Londres, ce volume représente environ 9,5 "capotes anglaises" par individu. Soit 19 rapports possibles par couple pendant la durée des JO.

Les athlètes restent toutefois discrets sur leurs ébats dans l’enceinte du village. La règle tacite est : « ce qui se passe au village, reste au village ».

 

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