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A l'ONU, Trump dénonce «la dictature corrompue» en Iran

Les chefs d'Etat des principaux pays vont se succéder à la tribune pour cette 73e assemblée générale annuelle de l'ONU. Donald Trump a notamment dressé un bilan élogieux de sa propre action, avant de s'attaquer à l'Iran.

A son pupitre, Donald Trump a commencé son discours par un bilan très élogieux de sa propre action : «En moins de deux ans, mon administration a accompli plus que presque toute autre administration dans l'histoire de notre pays. C'est vrai». Ce dernier a ensuite loué son initiative de paix «audacieuse» avec la Corée du Nord, prévenant toutefois que les sanctions internationales contre Pyongyang resteraient «en place jusqu'à la dénucléarisation» de la péninsule coréenne. A cette même tribune, il avait vivement attaqué il y a un an le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un et menacé de «détruire totalement» la Corée du Nord.

Comme attendu, le président américain s'en est ensuite pris à l'Iran, sujet crucial de son discours. «Toute solution à la crise humanitaire en Syrie passe par une stratégie visant à remédier à la situation et au régime corrompu de l'Iran. Les dirigeants iraniens sèment chaos, mort et destruction sur leur passage», a-t-il dénoncé. Ils «pillent les ressources de leur nation», a-t-il ajouté, promettant une «réponse» américaine si des armes chimiques étaient utilisées.

«Les principaux soutiens du terrorisme ne peuvent pas être autorisés à détenir les armes les plus dangereuses de la planète».

Donald Trump a défendu son choix de quitter l'accord sur le nucléaire iranien et d'imposer de nouvelles sanctions économiques contre le régime iranien. «Il y en aura encore d'autres», a-t-il promis.

«Les Etats-Unis ne participeront pas au nouveau pacte mondial sur la migration. La migration ne devrait pas être régie par un organe international, qui ne rend pas de comptes à nos citoyens», a lancé le président américain.

«Une tragédie humaine» au Venezuela

Le Venezuela vit «une tragédie humaine», a également déploré Donald Trump à la tribune de l'Assemblée générale. «Plus de deux millions de personnes ont fui» le pays à cause de son gouvernement socialiste soutenu par Cuba, a-t-il ajouté. «Il n'y a pas si longtemps, le Venezuela était l'un des pays les plus riches sur terre», a-t-il ajouté. 

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