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Attaques contre Israël : la communauté internationale condamne les frappes depuis la bande de Gaza

Le Hamas a lancé ce samedi 7 octobre son opération «déluge d'Al-Aqsa» contre Israël. Face aux dégâts et aux victimes causées par les tirs de plusieurs milliers de roquettes depuis la bande de Gaza, la communauté internationale a vivement critiqué cette attaque.

D'une même voix pour condamner les attaques du Hamas contre Israël. Après les milliers de tirs de roquettes perpétués depuis la bande de Gaza lors du déclenchement de l'opération «déluge d'Al-Aqsa», les États occidentaux ont tenu à montrer leur solidarité politique envers l'État d'Israël.

L'ambassade de France a condamné «avec la plus grande fermeté les tirs de roquette ayant ciblé Israël ce matin» et a exprimé sa «solidarité avec les populations et localités touchées». Dans un autre tweet, la France se dit «horrifié par les nouvelles en provenance du sud du pays» et parle «d'attaques terroristes inadmissibles et [qui] doivent être condamnés par tous».

La Russie appelle à la «Retenue»

Stephanie Hallett, ambassadrice des États-Unis sur le territoire, s'est dite «écœurée par les images qui proviennent du sud l'Israël des morts et civils blessés par les terroristes de Gaza». Elle assure que «les États-Unis sont au soutien d'Israël». L'Ukraine s'est également positionné derrière le pays en soutenant son «droit à se défendre lui-même et son peuple».

De son côté, l'Union européenne a condamné «sans équivoque l'attaque menée par les terroristes du Hamas». «Il s'agit de terrorisme dans sa forme la plus méprisable», a déclaré Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, dans un message publié sur X (anciennement Twitter).

Même son de cloche en Italie et en Allemagne. Rome a souligné que «la terreur ne prévaudra jamais» tandis que Berlin estime que l'opération «déluge d'Al-Aqsa» «contribue à l'intensification de la violence». «La violence et les roquettes visant des innocents doivent immédiatement s'arrêter».

La Russie s'est montrée moins véhémente, mais désireuse d'entamer les négociations pour la désescalade. «Nous sommes en contact avec tout le monde maintenant. Avec les Israéliens, les Palestiniens et les Arabes», a communiqué Mikhaïl Bogdanov, vice-ministre des Affaires étrangères. Il rappelle que Moscou a été «surprise» par cette aggravation des tensions et que «si on s'attendait à cela, on l'aurait empêché».

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