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Enceinte, Britney Spears évoque ses précédentes grossesses et l'acharnement des paparazzis

Britney Spears souhaite dorénavant être juste «elle-même». [VALERIE MACON / AFP]

Alors que la pop star a annoncé en début de semaine attendre son troisième enfant, elle est revenue sur ses précédentes grossesses et la dureté des médias à son égard à cette époque.

Toute à la joie de sa nouvelle grossesse, Britney Spears ne se pose pas moins, comme de nombreuses mères, une foule de questions. Des doutes qu’elle a partagé sur son compte Instagram dans un long message, avant de plonger dans ses souvenirs.

«Vais-je être assez réfléchie ?», «Serais-je suffisamment instinctive», a noté la star, qui explique «avoir peur de faire des erreurs», lançant au passage une nouvelle pique à sa propre mère. «Ma mère et moi étions constamment en conflit», poursuit-elle, critiquant vivement le manque d’instinct maternel de Lynn Spears. 

Des souvenirs douloureux

Alors qu’elle s’apprête à écrire un nouveau chapitre de sa vie, l’interprète de «Baby One more time» a alors abordé la dureté avec laquelle elle a été traitée par les médias. «Je ne suis pas une sainte mais les médias m’ont détruite la première fois que j’ai été mère». Évoquant son premier disque, sorti alors qu’elle avait 14 ans, et sa première grossesse, à l’âge de 24 ans, elle poursuit : «j’y pensais la nuit dernière. J’étais un bébé élevant deux bébés avec dix-sept voitures garées devant chez moi. Je ne savais pas comment faire».

Elle pointe alors du doigt, l’acharnement de la presse people à son égard. «Les médias ont toujours été extrêmement durs avec moi», commente l’artiste libérée de sa tutelle en novembre dernier, après treize années durant lesquelles elle a été privée de nombreux droits : conduire, se marier, tenter d'avoir un enfant et disposer de ses finances. 

Mais à quarante ans, Britney Spears, qui a par ailleurs un peu plus tôt dans la semaine confié avoir souffert de dépression prénatale, dépression qui intervient durant la grossesse, ne compte pas cette fois se laisser gâcher la vie tant par ses hormones que par la pression.

«Je ne veux pas être une femme enceinte en colère qui mange des donuts tous les matins, et puis j'ai réfléchi à tout ça et… tout va bien se passer», a commenté la compagne de Sam Asghari, qui souhaite dorénavant être «juste elle-même».

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