Le général Patrick Touron, directeur de l'institut de recherche criminelle de la gendarmerie était l'invité de Jean-Pierre Elkabbach. Il s'est exprimé à propos de la petite martyre de l'A10, dont les découvertes trente-et-un ans après ont pu permettre l'identification de la petite fille de 4 ans.
Le cadavre mutilé de la fillette, dont la photo avait été placardée dans tous les endroits publics, portait des traces de brûlures occasionnées par un fer à repasser et des cicatrices dues à des morsures humaines, sans doute d'une femme, selon les médecins légistes.