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«Super-héros malgré lui» : 3 raisons d'aller voir le nouveau film de Philippe Lacheau

Le film sort au cinéma le 2 février prochain.[©DR]

Après «Nicky Larson et le parfum de Cupidon», Philippe Lacheau est de retour au cinéma avec «Super-héros malgré lui», une comédie d’action dont il est l'acteur principal et le réalisateur.

Voici 3 bonnes raisons de courir dans les salles obscures, dès ce mercredi, pour voir ce film qui tourne en dérision la culture Marvel et DC, et réunit notamment ses complices de la «Bande à Fifi», Elodie Fontan, Tarek Boudali, et Julien Arruti.  

Parce qu’il y a Badman 

Les spectateurs retrouveront non pas Batman, mais Badman, alias Cédric, un apprenti comédien, incarné par Philippe Lacheau. Après un entretien lunaire avec la productrice d’un film de super-héros, campée par Chantal Ladsou, qui précise que l’acteur principal «n’a vraiment rien à voir avec Batman parce qu’il n’a pas de cape», il décroche son premier rôle. 

Mais dès le début du tournage, Cédric est victime d’un accident de voiture à bord de la Badmobile et perd totalement la mémoire. A son réveil, vêtu du costume de l'homme chauve-souris, il se prend pour le personnage du film. Il se présente comme étant l’ami de Spider-Man, et pense devoir délivrer sa famille, qui est tenue en otage par un clown maléfique.  

Parce qu’il y a des scènes d’action soignées

Pendant qu’il tente de faire le bien autour de lui, mais mal, son père (Jean-Hugues Anglade) a un seul objectif : mettre derrière les barreaux un criminel surnommé le Schyzo, et joué par Amr Waked («Lucy»). Pour Cedric, qui peine à trouver grâce aux yeux de son géniteur, cette affaire sera l’occasion de prouver qu’il est un véritable super-héros, et pas un «dindon».

Au fil de ses mésaventures, le justicier agressera des policiers, enlèvera l’enfant de son idole dans un château, volera des voitures… mais donnera aussi une bonne leçon aux méchants. On assiste à plusieurs scènes de combat et autres courses poursuites bien élaborées, qui empruntent à bon escient les codes visuels des films d’action américains.   

Parce qu’il y a des gags à gogo  

Le baiser à l’envers du premier Spider-Man qui dérape, le partenariat exigeant d’inclure un aspirateur Karcher dans le film… Cette comédie au scenario bien ficelé a le superpouvoir de nous faire oublier tous nos tracas, tant les situations délirantes, les blagues qui font mouche et autres gags visuels, pour la majorité très drôles, s’enchaînent à une belle cadence.  

Les fans de super-héros pourront s’amuser à dénicher les allusions aux films Marvel et DC Comics distillées au fil du long-métrage, qui a donné le coup d’envoi de la dernière édition du festival du film de comédie de l'Alpe d'Huez. En sachant qu’il n’est pas nécessaire de connaître cet univers pour comprendre l'histoire et passer un moment de franche rigolade. 

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