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Attaque près des anciens locaux de Charlie Hebdo : les réactions politiques

Selon la préfecture, un suspect a été interpellé à proximité de Bastille.[GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP]

Une attaque à l'arme blanche a fait deux blessés ce vendredi, dans le 11e arrondissement de Paris, tout près des anciens locaux de la rédaction de Charlie Hebdo. Les réactions des politiques se succèdent.

Dernière en date et après un après-midi passé sur le terrain, la maire de Paris, Anne Hidalgo, a «condamné» à son tour l'«ignoble attaque terroriste survenue devant les anciens locaux de Charlie Hebdo».

La maire de Lille, Martine Aubry, a elle aussi fait part de ses «pensées aux victimes de l'attaque au couteau à Paris». 

Sans aucun mot pour les victimes, la présidente du Rassemblement National, Marine Le Pen, s'en est quant à elle pris à la «politique d'immigration» française.

L'ancien Premier ministre, Manuel Valls, a partagé son «émotion à la suite de l'attaque à l'arme blanche près des anciens locaux de Charlie Hebdo», assurant qu'il avait le «sentiment de revivre un cauchemar».

L'ancien Président de la République, François Hollande, s'est quant à lui exprimé via un communiqué de presse. «Une fois encore, c'est la liberté qui est la cible de cette barbarie», a-t-il notamment écrit, aujoutant que cet attentat «confirme que le terrorisme demeure une menace majeure pour notre pays».

La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse s'est déclarée «extrêmement choquée par l'attaque meurtrière». 

«5 ans après, l'horreur revient» a réagi le porte-parole du Rassemblement National (RN) Sébastien Chenu.

Julien Bayou, secrétaire du parti EELV se dit «solidaire avec les victimes».

Le député LR Eric Ciotti adresse également ses pensées «aux forces de l'ordre et de secours mobilisées».

«Terrible attaque dans un arrondissement déjà meurtri à plusieurs reprises», s'est émue la maire du 7ème arrondissement de Paris Rachida Dati.

Des réactions venues de l'étranger

A l'international, les premiers réactions tombent au compte-gouttes. Le président du Conseil européen a réagit sur Twitter en début d'après-midi. «Toutes mes pensées vont aux victimes de cet acte de violence lâche. La terreur n'a pas de place sur le territoire européen», a-t-il notamment écrit.

A savoir que la vie des deux victimes – employées par l'agence Premières Lignes – n'est plus en danger.

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