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DIRECT - Attaque près des anciens locaux de Charlie Hebdo : six gardes à vue en cours

En plein procès des attentats de janvier 2015, un individu a blessé deux personnes à l'arme blanche ce vendredi matin, rue Nicolas-Appert à Paris (XIe), non loin des anciens locaux de la rédaction de Charlie Hebdo.

> L'attaque a fait deux blessés, et non quatre comme annoncé plus tôt par la préfecture de police de Paris

> Il y a actuellement neuf gardes à vue en cours. Les cinq personnes interpellées à Pantin en Seine-Saint-Denis sont des colocataires ou anciens colocataires du principal suspect

> L'attaque a eu lieu rue Nicolas-Appert (XIe), non loin des anciens locaux de Charlie Hebdo

20h40

Quarante-huit heures après l'attaque au hachoir à Paris, l'enquête antiterroriste s'est centrée dimanche sur la personnalité du principal suspect, qui a reconnu vouloir s'en prendre à Charlie Hebdo et qui avait préparé une vidéo de revendication, ainsi que sur son entourage avec six gardes à vues encore en cours dans la soirée.

Au cœur de l'enquête, l'identité de celui que le procureur national antiterroriste Jean-François Ricard a qualifié dès vendredi d'"auteur principal" de l'attaque qui a fait deux blessés graves devant les anciens locaux de Charlie Hebdo: cet homme se présente comme Hassan A., âgé de 18 ans, né à Mandi Bahauddin, une ville agricole du Pendjab au Pakistan. Inconnu des services spécialisés sous cette identité, l'homme "parle un peu le français, mais bénéficie d'un traducteur en ourdou", selon une source proche de l'enquête. Sa garde à vue, entamée vendredi midi suite à son interpellation par la police place de la Bastille à Paris, a été prolongée de 48 heures dimanche par un juge des libertés et de la détention, selon une source judiciaire.

16h52

Neuf personnes en garde à vue et une éventuelle vidéo de revendication à l'étude: plus de 48 heures après l'attaque au hachoir à Paris, l'enquête antiterroriste se poursuivait dimanche autour du parcours du principal suspect qui a reconnu vouloir s'en prendre à Charlie Hebdo.

Au cœur de l'enquête, l'identité de celui que le procureur national antiterroriste Jean-François Ricard a qualifié dès vendredi d'"auteur principal" de l'attaque qui a fait deux blessés graves devant les anciens locaux de Charlie Hebdo: cet homme se présente comme Hassan A., âgé de 18 ans, né à Mandi Bahauddin, une ville agricole du Pendjab au Pakistan. Inconnu des services spécialisés sous cette identité, l'homme "parle un peu le français, mais bénéficie d'un traducteur en ourdou", selon une source proche de l'enquête.

Sa garde à vue, entamée vendredi midi suite à son interpellation par la police place de la Bastille à Paris, a été prolongée de 48 heures dimanche par un juge des libertés et de la détention, selon une source judiciaire.

L'identité d'Hassan A. correspond à celle d'un jeune homme entré en France encore mineur, il y a trois ans. Pris en charge par l'aide sociale à l'enfance dans le Val-d'Oise jusqu'à sa majorité en août dernier, il ne présentait "aucun signe de radicalisation", selon le conseil départemental. De source proche de l'enquête, Hassan A. envisageait de se lancer dans une formation aux métiers du bâtiment.

Deux des domiciles présumés de cet homme présenté comme "itinérant" ont été perquisitionnés vendredi, un hôtel social situé à Cergy (Val-d'Oise) et un deux-pièces à Pantin (Seine-Saint-Denis), meublé de plusieurs lits

11h37

Huit gardes à vue étaient en cours dimanche matin dans l'enquête sur l'attaque au hachoir vendredi à Paris qui pensait viser Charlie Hebdo et a fait deux blessés graves, a indiqué à l'AFP une source judiciaire.

Une garde à vue a été levée samedi en fin d'après-midi, celle d'un «ancien colocataire», à Cergy (Val-d'Oise), du principal suspect qui se présente comme Hassan A., âgé de 18 ans et né au Pakistan.

Huit gardes à vue étaient encore en cours: l'homme se présentant comme Hassan A., cinq anciens colocataires de son appartement de Pantin, son petit frère et une connaissance.

07H15

Huit autres personnes sont toujours en garde à vue ce samedi en début de soirée dans le cadre de l’enquête ouverte par le parquet national antiterroriste : le petit frère du suspect, une connaissance, cinq hommes qui se trouvaient dans l’un de ses domiciles présumés à Pantin et un ancien colocataire à Cergy.

Samedi 26 septembre

20h06

Les premiers éléments de l'enquête sur l'attaque au hachoir vendredi à Paris devant les anciens locaux de Charlie Hebdo «laissent penser que le principal suspect a agi seul», a indiqué à l'AFP une source proche du dossier. 

Cet homme qui déclare se nommer Hassan A. et être né en août 2002 à Mandi Bahauddin (Pakistan), est soupçonné d'avoir grièvement blessé deux salariés de l'agence Premières Lignes devant l'immeuble du XIe arrondissement qui abritait la rédaction du journal satirique lors des attentats de janvier 2015. Huit autres personnes étaient toujours en garde à vue samedi en début de soirée dans le cadre de l'enquête ouverte par le parquet national antiterroriste (Pnat): son petit frère, une connaissance, cinq hommes qui se trouvaient dans l'un de ses domiciles présumés à Pantin (Seine-Saint-Denis), et un ancien colocataire à Cergy (Val-d'Oise).

Il s'agit de comprendre «l'environnement» du principal suspect, selon la source proche du dossier, car «tout laisse à penser qu'il a agi seul». 

Par ailleurs, une vidéo de plusieurs minutes «pas encore totalement authentifiée» montre un homme qui pourrait être, de manière «extrêmement probable» Hassan A.. Sur la vidéo, cet homme «chante, pleure, parle des caricatures du prophète et annonce son passage à l'acte dans une sorte de manifeste», détaille la source proche du dossier, qui insiste sur «l'absence d'un acte d'allégeance à une organisation».

L'homme, qui n'était ni fiché S ni inscrit au Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), «n'était pas connu des services de police, ni de renseignement» pour des soupçons de radicalisation, selon cette source. Il a fait l'objet en juin dernier d'un rappel à la loi pour un port d'arme de catégorie D, «une arme blanche», mais pas un «tournevis», comme avancé vendredi par le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, a-t-on précisé de même source.

17h05

Le deuxième suspect placé en garde à vue après l'attaque au hachoir qui a fait deux blessés graves vendredi à Paris, avant d'être mis hors de cause, a eu «un comportement héroïque», a souligné samedi son avocate auprès de l'AFP. «Il doit être présenté comme un héros, il a eu un comportement héroïque», a affirmé Me Lucie Simon au sujet de son client,  «Youssef» (nom d'emprunt), sorti libre vendredi soir après avoir passé une dizaine d'heures en garde à vue auprès des enquêteurs antiterroristes. 

 «Youssef était au niveau du boulevard Richard Lenoir, il entend le cri d'une femme, puis d'un homme et voit quelqu'un partir avec un couteau et qui fait tomber ce couteau à l'entrée de la bouche de métro», raconte-t-elle. «Mon client, qui a fait cela plusieurs fois dans sa vie, se met à lui courir après pour l'arrêter. Il se dit qu'il a dû agresser une femme, sans se douter du caractère terroriste de l'affaire», poursuit-elle. «Il descend en trombe ans le métro, il voit que (le principal suspect) est sur l'autre quai, il crie 'qu'est-ce que t'as fait ?'. L'assaillant le pointe avec un cutter et rentre dans le métro. Mon client arrête de le poursuivre parce qu'il est menacé», ajoute-t-elle. Une source proche de l'enquête a confirmé à l'AFP les grandes lignes de ce récit qui a valu à «Youssef» d'être mis hors de cause vendredi soir. 

L'homme, âgé de 33 ans, de nationalité algérienne et présent depuis moins de dix ans en France, s'est  «ensuite présenté aux policiers pour témoigner. Il a été placé en garde à vue, «avec une interpellation type affaires de terrorisme : menottes, yeux bandés», ajoute son avocate. Elle estime qu'il n'était pas  «strictement nécessaire» que son client soit placé en garde à vue alors que d'après elle, les enquêteurs «avaient déjà tous les éléments». «Ils avaient les vidéos de mon client, qui avait aussi croisé un policier avant d'être interpellé, à qui il avait donné la direction du suspect». «J'ai cru qu'on allait me traiter comme un héros et on m'a mis derrière les barreauxs», a notamment dit cet homme, selon son avocate.

16h27

Deux nouvelles personnes, le frère et une connaissance du principal suspect, ont été placées en garde à vue samedi dans l'enquête sur l'attaque au hachoir à Paris vendredi qui a fait deux blessés grave, a appris l'AFP de source judiciaire. «Le petit frère du principal suspect» a été interpellé dans le Val-d'Oise et placé en garde à vue, ainsi qu'un homme «dans l'environnement relationnel» de l'assaillant présumé, a-t-on indiqué de même source.

Au total, neuf personnes sont actuellement en garde à vue : outre ces deux personnes, il s'agit du principal suspect, de cinq hommes qui se trouvaient vendredi après-midi dans l'un de ses domiciles présumés à Pantin (Seine-Saint-Denis) et d'un «ancien colocataire» placé en garde à vue tard vendredi soir. Un autre homme, un Algérien de 33 ans, interpellé rapidement après les faits, a été relâché vendredi soir et mis «hors de cause». 

En plein procès de l'attentat meurtrier qui a visé «Charlie» en janvier 2015, un homme qui se présente comme né au Pakistan et âgé de 18 ans s'en est pris vendredi à l'aide d'un hachoir à un homme et à une femme qui fumaient une cigarette devant les anciens locaux de Charlie Hebdo. Le principal suspect a «assumé son acte» samedi, reconnaissant qu'il visait l'hebdomadaire satirique, selon des sources proches de l'enquête. Une enquête a été ouverte par le parquet national antiterroriste (Pnat) pour «tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste» et confiée à la brigade criminelle et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).

15h47

Selon une source proche du dossier, le suspect a indiqué en garde à vue qu'il pensait s'attaquer aux journalistes de Charlie Hebdo. L'homme semblait ignorer que le journal satirique avait déménagé. 

14H29

L'ancien immeuble de Charlie Hebdo, cible de l'attaque au hachoir qui a fait deux blessés vendredi à Paris, «ne faisait l'objet d'aucune menace connue», a indiqué samedi la préfecture de police, accusée par le ministre de l'Intérieur «sous-évalué» la menace.

«L'ancien immeuble de Charlie Hebdo ne faisait l'objet d'aucune menace connue et les sociétés qui y sont actuellement hébergées n'ont fait état d'aucune menace à l'encontre de leurs personnels», selon la préfecture de police.

L'actuel site du siège de Charlie Hebdo, dont l'adresse est tenue secrète, «ait l'objet d'une sécurisation renforcée avec garde statique depuis le début de l'ouverture du procès» des attentats de janvier 2015 qui s'est ouvert début septembre devant la cour d'assises spéciale de Paris, ajoute la PP.

11h55

L'Elysée a indiqué samedi avoir «pris contact avec les familles des victimes» de l'attaque au hachoir vendredi à Paris devant les anciens locaux de Charlie Hebdo, pour «exprimer soutien et solidarité».

08h49

La garde à vue du deuxième suspect dans l'attaque au hachoir à Paris vendredi, devant les anciens locaux de Charlie Hebdo, a été levée dans la nuit car cet homme qui se trouvait à proximité du lieu de l'attaque a été mis «hors de cause», a affirmé samedi à l'AFP une source judiciaire.

La garde à vue de ce deuxième suspect a été «levée à 23H30» selon la source judiciaire.

Selon une source proche du dossier, son récit qui «consiste à dire qu'il a été témoin, a poursuivi l'auteur et a ensuite été menacé, a été corroboré par l'enquête» dans cette agression qui a fait deux blessés graves dans l'équipe de l'agence Premières Lignes.

Selon la source judiciaire, un «ancien colocataire du principal suspect quand il résidait dans un hôtel social» à Cergy (Val-d'Oise) a été placé à son tour en garde à vue vers 23H00 vendredi.

Cela maintient à sept le nombre de gardes à vue en cours samedi matin: tout d'abord, le principal suspect, arrêté par la police place de la Bastille à la mi-journée vendredi, un homme né au Pakistan et âgé de 18 ans. Il était arrivé en France encore mineur il y a trois ans.

Ensuite, cinq hommes qui se trouvaient dans l'un des domiciles présumés du principal suspect, à Pantin (Seine-Saint-Denis). Deux domiciles présumés du principal suspect ont en effet été perquisitionnés, celui de Cergy et celui de Pantin.

Vendredi 25 septembre

20h47

L'attaque au hachoir à Paris, qui a fait deux blessés vendredi, devant les anciens locaux de Charlie Hebdo, constitue "manifestement un acte de terrorisme islamiste", a déclaré Gérald Darmanin sur France 2. "C'est la rue où il y avait Charlie Hebdo, c'est le mode opératoire des terroristes islamistes, bien évidemment, cela fait peu de doute, c'est une nouvelle attaque sanglante contre notre pays", a ajouté le ministre de l'Intérieur.

20h19

Cinq hommes, nés entre 1983 et 1996, ont été placés en garde à vue vendredi dans l'enquête antiterroriste sur l'attaque au hachoir à Paris, devant les anciens locaux de Charlie Hebdo, a appris l'AFP de source judiciaire. D'après cette source, ces cinq hommes ont été interpellés à Pantin (Seine-Saint-Denis) par les enquêteurs lors d'une perquisition à l'un des domiciles supposés du principal suspect de cette attaque.

Ces cinq gardes à vue s'ajoutent à celle du principal suspect et d'un autre homme, interpellées juste après l'attaque.

19h16

Selon une source proche du dossier, deux perquisitions sont en cours en Seine-Saint-Denis et dans le Val d'Oise dans des logements où pourrait avoir logé le suspect principal. 

Des sources concordantes ont également indiqué à CNEWS que le deuxième suspect aurait été interpellé parce qu'il a été vu dans le métro à proximité du premier suspect. On ne sait pas si cela date d'avant ou d'après des faits ni si les deux hommes étaient en contact et se connaissaient. 

Quant à l'arme utilisée, elle a été retrouvée à proximité des lieux des agressions. 

18h10

Le dispositif de sécurité a été partiellement levé à Paris après l'attaque au couteau perpétrée dans le XIe arrondissement. Un périmètre de sécurité réduit est cependant maintenu, indique le ministère de l'Intérieur sur Twitter. 

17h54

La rédaction de Charlie Hebdo a de nouveau réagi après l'attaque au couteau perpétrée dans la rue des anciens locaux du journal.

«Après l'appel pour la liberté d'expression signé par plus de cent médias, deux terroristes ont attaqué à l'arme blanche une femme et un homme qui se trouvaient être des journalistes de l'agence Premières Lignes, et dont les bureaux se situent à côté des anciens locaux de Charlie», a déploré l'hebdomadaire satirique, dans un texte publié sur Twitter. La rédaction a ajouté «condamner cet acte ignoble et soutenir les victimes et leurs familles dans cette épreuve». 

Le journal a conclu en affirmant refuser «de céder quoi que ce soit à la logique mortifère et criminelle des idéologies qui motivent ces actes, et dont les penseurs, les concepteurs, ne sont rien d'autre que des fascistes».«Cet épisode tragique démontre une fois de plus que le fanatisme, l'intolérance, dont l'enquête nous révèlera les origines, sont toujours aussi présents dans la société française», peut-on notamment lire dans le communiqué publié sur Twitter par le magazine satirique. 

16h15

Le suspect principal interpellé à Bastille n'était pas connu des services de renseignement pour radicalisation, selon les informations de CNEWS. En revanche, il était connu des services de police pour port d'arme prohibée. 

15h12

La rédaction de Charlie Hebdo apporte «son soutien et sa solidarité à ses anciens voisins et confrères».

15h07

Sur Twitter, la préfecture de police de Paris a levé le confinement des élèves présents dans les établissements scolaires des 11e, 3e et 4e arrondissements.

Leurs parents ont désormais l'autorisation de venir les chercher.

15h02

La RATP annonce que sur les lignes 1, 5, 8 et 9, 4 stations ont été fermées pour des raisons de sécurité. Les trains n'y marquent plus l'arrêt. Il s'agit de :  Saint-Sébastien Froissart, Bréguet-Sabin, Richard-Lenoir, Saint-Ambroise.

14h48

Le Premier ministre Jean Castex, et le ministre de l'Intérieu Gérald Darmanin, sont arrivés sur place. La maire de Paris, Anne Hidalgo, est également sur place.

14h33

Selon nos journalistes, le premier suspect interpellé a indiqué à la police être né en 2002 au Pakistan.

14h18

Une deuxième personne a été placée en garde à vue après l'attaque à l'arme blanche qui a fait deux blessés vendredi près des anciens locaux de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, a appris CNews auprès d'une source judiciaire.

Un premier suspect avait été interpellé à proximité de la place de la Bastille à Paris, selon la préfecture de police de Paris.

14h02

Selon nos informations, une deuxième interpellation a eu lieu Boulevard Richard-Lenoir.

13h54

Le parquet antiterroriste (Pnat) a annoncé être saisi pour tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste, association de malfaiteurs terroriste criminelle.

13h50

Le parquet de Paris a ouvert vendredi une enquête pour «tentative d'assassinat».

Cette enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire, a précisé le procureur de Paris Rémy Heitz.

13h38

Elise Lucet, interrogée sur France 2, a indiqué que deux salariés de l'agence Premières Lignes avaient été blessés dans l'attaque d'aujourd'hui. Paul Moreira, de la même société de production, a également confirmé que plusieurs personnes de la rédaction avaient été blessées dans cette attaque  devant nos locaux avec une feuille de boucher».

13h11

«Des milliers d'élèves», de la crèche au lycée, ont été confinés par précaution dans trois arrondissements du centre de Paris, a indiqué le maire de Paris Centre Ariel Weil.

«Cinq écoles du XIe arrondissement et toutes les écoles des 3e et 4e arrondissements ont été confinées. Ça représente des milliers d'élèves, de la crèche au lycée. On se met en sécurité. On est en train de fermer les équipements municipaux et les gymnases aussi», a ajouté M. Weil

13h07

Cette agression, qui survient en plein procès des attentats meurtriers de janvier 2015, serait le fait d'une seule personne, a précisé la préfecture de police de Paris, qui avait dans un premier temps fait état de deux suspects en fuite et de quatre blessés.

Le périmètre de sécurité a été élargi autour des anciens locaux de Charlie Hebdo en raison d'un «colis suspect».

12h51

Dans la foulée, le Premier ministre a annoncé qu'il se rendait au centre de crise du ministère de l'Intérieur. «Dans ces conditions, je suis obligé de me rendre au centre de crise à Beauvau pour m'assurer de la réalité de la situation et de son évolution», a indiqué le chef du gouvernement, en écourtant son déplacement à Pantin.

12h40

La police et les secours sont actuellement sur place.

La préfecture de police de Paris demande aux Parisiens d'éviter le secteur.

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