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Paris : découvrez le parcours de la Gay Pride de ce samedi 26 juin

Contrairement à l’année dernière la «Marche des fierté » aura bien lieu cet été.[Christophe ARCHAMBAULT / AFP]

Contrairement à l’année dernière, la «Marche des fiertés» a bien lieu cet été. Découvrez quelles seront ses étapes et ses points de chute.

Il faut dire qu’en 2020, avec les mesures anti-Covid, l’Inter-LGBT avait été obligée de transformer sa manifestation physique sous forme de rendez-vous virtuel, dont la santé en était le thème. Mais ce 26 juin 2021, «nous allons enfin nous retrouver et déconfiner nos fiertés» peut-on lire sur le site de l’interassociative.

Départ en banlieue

Petite nouveauté puisque cette année, le rendez-vous est fixé à l’Église de Pantin à partir de 13h30. Et pour cause, «leurs fiertés et leur besoin de visibilité ne s’arrêtent pas au périf» explique l’association avant d’ajouter que «la banlieue aussi est fière».

Le départ du cortège sera à 15h et l’itinéraire traversera le XIXème et le Xème arrondissements de Paris. Il se fera sur une ligne quasiment droite qui passera par l’avenue de la Porte de Pantin, l’avenue Jean-Jaurès puis, prendra la rue Lafayette et ensuite, le boulevard Magenta, et enfin se terminera sur la célèbre place de la République.

Bien que le défilé soit maintenu, les mesures de sécurité sanitaires obligent quand même la «Marche des fiertés» à renoncer à ses emblématiques chars est ses podiums. Mais cela ne l’empêchera pas de s’armer de « ses banderoles, de ses revendications, de sa détermination et de son enthousiasme».

L’événement sera également rythmé par Le village des Fiertés. Il s’agit d’un rendez-vous qui se déroulera de 10h à 15h place de la Pointe à Pantin. De nombreuses animations sont prévues, ainsi que des rencontres avec les associations LGBT+ et les personnes qui oeuvrent en Ile-de-France, qui seront également présentes.

L’Inter-LGBT invite ainsi toutes les personnes qui se sentent concernées par leur cause, à venir défiler ensemble pour «exiger le respect de leurs droits». Elle précise «qu’elle refuse que l’extrême droite soit montrée comme la solution», même si elle estime que le gouvernement actuel «n’a rien fait de concret, hormis de la communication».

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