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Prime de Noël 2023 : qui sera éligible ?

Son montant est de 152 euros et peut grimper jusqu’à 400 voire 500 euros pour les plus démunis. [Nomad_Soul / ADOBE]

Le gouvernement propose des aides pour les fins d’années aux plus démunis. 2,3 millions de Français sont concernés par la prime de Noël.

La fin d'année approche, et vous commencez sûrement à anticiper le coût des fêtes de Noël et du Nouvel An. La prime de Noël 2023 est une allocation familiale accordée aux bénéficiaires des minimas sociaux, sous conditions. Son montant est de 150 euros et peut grimper jusqu’à 400 voire 500 euros pour les plus démunis. Mais seulement certaines personnes sont éligibles. Ils recevront la somme le 15 décembre prochain. 

Les primes s'adressent aux Français en situation précaire. Il existe, à cet ordre, deux primes de Noël différentes. Celle versée par la CAF et celle versée par Pôle Emploi, autrement appelée «aide exceptionnelle de fin d’année». Il existe une troisième prime de Noël versée par l'entreprise que l'on appelle aussi «troisième mois».

La prime de Noël donnée par la CAF

Il ne suffit pas d'être inscrit à la CAF pour toucher la prime de Noël. Mais, certaines conditions sont nécessaires. Il faut être bénéficiaire du RSA, avec ou sans la prime d’activité, ou bien bénéficiaire de l’Allocation de Solidarité Spécifique (ASS).

La prime donnée par Pôle Emploi

Il faut être bénéficiaire de l’ACCRE (aide à la création d’entreprise) seulement si vous étiez à l’ASS avant, bénéficiaire d’une rémunération de formation versée par le Pôle emploi, si elle fait suite à un versement d’ASS, bénéficiaire de l’Allocation Equivalent Retraite (AER), bénéficiaire de la prime forfaitaire pour reprise d’activité, ou bénéficiaire de la Prime transitoire de Solidarité (PTS). 

La prise de Noël donnée par l'entreprise 

La prime de fin d’année, également appelée prime du treizième mois ou prime de Noël. En principe, la plupart des salariés, s’ils respectent certaines conditions, bénéficieront d’une prime de fin d’année. Mais cela reste propre à chaque entreprise, selon l'usage ou les conventions collectives. Le salarié doit avoir travaillé au moins 2 mois dans l’entreprise (temps partiel ou plein) ou 44 jours pour un travailleur occasionnel. 

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