Après le vitiligo, l’ancien Premier ministre et maire du Havre, Édouard Philippe, a annoncé souffrir de l’alopécie, une maladie auto-immune qui lui a fait perdre ses sourcils. L’ancien locataire de Matignon tient, toutefois, a rassuré sur son état de santé.
«Je suis bien dans ma peau». Depuis quelques années, alors qu’il était Premier ministre, Edouard Philippe a annoncé souffrir d’un vitiligo. Cette maladie lui a fait blanchir la barbe et se traduit, en général, par une dépigmentation qui peut toucher n’importe quelle partie du corps.
«Je ne pouvais pas le planquer, ma barbe devenait blanche ! Je suis toujours atteint par ce vitiligo, qui est d’ailleurs dans une progression assez limitée», a-t-il dit dans les colonnes du Parisien.
Âgé de 51 ans, le maire du Havre a par ailleurs révélé être atteint d’une seconde maladie auto-immune : il s’agit de l’alopécie. Une maladie qui lui a fait perdre les sourcils.
«Je suis en pleine forme»
«L'alopécie est définie comme une perte de poils sur le corps. La perte des cheveux est souvent une grande cause de préoccupation pour des raisons esthétiques et psychologiques, mais elle peut également être un signe important de maladie systémique», détaille le manuel MSD.
Touchant bien souvent les cheveux, cette maladie, dont les hormones de la dihydrotestostérone et l’épitestostérone sont souvent en cause, aboutit en général à la calvitie.
Toutefois, Edouard Philippe a tenu à rassurer sur son état de santé.
«Je me suis longtemps demandé à quoi servait un sourcil. Eh bien, cela sert à se faire remarquer quand ça tombe ! C’est visible, cela peut arriver à tout âge», a-t-il ironisé.
«Ce n’est ni douloureux, ni dangereux, ni contagieux. Je suis en pleine forme, je fais de la boxe deux fois par semaine», a-t-il ajouté.