En direct
A suivre

Quand le rap français dérape

Suprême NTM, Orelsan, Abdul X et aujourd'hui Nick Conrad. Ces chanteurs ont créé, sciemment ou non, la polémique avec leurs textes au nom de la liberté d'expression. Petit au tour d'horizon avec ces rappeurs qui ont eu maille à partir avec la justice.

En 1993, c'est Suprême NTM qui chantait «Donne moi les balles pour la police municipale». Vingt-cinq ans plus tard, Nick Conrad, encore inconnu, s'attire les lumières et les critiques en criant haut et fort : «Pendez les Blancs»

Le clip de plus de neuf minutes tourné à Noisy-Le-Grand, en Seine-Saint-Denis, s'ouvre sur une scène où le rappeur allume un cigare en toute décontraction.

En arrière-plan, un Blanc pendu se balance au bout d'une corde, puis la chanson «PLB» démarre. Dans une des séquences suivantes, Nick Conrad enfonce un revolver dans la bouche d'un homme blanc séquestré dans un coffre de voiture, avant de lui tirer dessus.

À suivre aussi

Ailleurs sur le web

Dernières actualités