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Réactions surprenantes, attaques personnelles, code vestimentaire... Les bancs dissipés de l'Assemblée nationale

Le texte de loi sur le pouvoir d'achat a été adopté par 341 voix contre 116, au terme de quatre jours et nuits de débats à l'Assemblée nationale. Depuis les élections législatives et la nouvelle composition de l'hémicycle, les oppositions se tirent dessus à boulet rouge. Des perturbations permanentes qui plombent les débats.

Les députés semblent à bout de souffle. Si après huit heures de débat, ils ont vôté la loi sur le pouvoir d'achat, une intervention d'un député RN de la Somme a déstabilisé l'hémicycle. Face au rassemblement de la gauche (Nupes), la prise de parole de Jean-Plilippe Tanguy n'a pas laissé indifférent. Extrêmement passioné et animé par ses propos, l'homme politique a provoqué l'hilarité, même au sein de son propre parti où l'on a pu en voir certains comme Marine Le Pen, en plein fou-rire. 

Un évenement qui n'est pas isolé 

Ce n'est pas le premier rebondissement qui frappe l'Assemblée nationale depuis l'annonce de la nouvelle composition du gouvernement. Le 12 juillet dernier, le député Rémy Rebeyrotte du parti Renaissance affichait, en plein hémicycle, un signe nazi.

Un vif échange entre le ministre de la justice Éric Dpont-Moretti et le réputé RN Julien Odoul au sujet de l'immigration avait également fait beaucoup parler :

De nombreuses réactions surprenantes, des insultes, des tensions, des attaques plus personnelles et des coups de colères se déclarent comme celui d'Éric Ciotti. Ce dernier pointe du doigt les tenues de certains députés qu'il estime trop relâchées. Dans un tweet, il va jusqu'à interpeller la présidente de l'Assemblée nationale :

La première ministre, Elisabeth Borne, a quant à elle été surprise en train de fumer sa cigarette électronique, sous son masque. Un relâchement face au règlement qui montre la montée des tensions au sein de l'Assemblée nationale. 

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