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Sexe en temps de coronavirus : le «glory hole» recommandé par les autorités canadiennes

La suggestion a beaucoup fait rire les internautes (image d'illustration).[Bertrand GUAY / AFP]

La recommandation a tapé dans l’œil de nombreux internautes. Le B.C. Centre for Disease Control, agence de santé publique de la province canadienne de Colombie-Britannique, a émis l’idée de pratiquer le «glory hole» pour pimenter sa vie sexuelle en limitant les risques de transmission du coronavirus.

De façon surprenante, elle suggère ainsi, dans un communiqué diffusé sur son site internet, d’utiliser des barrières, comme des murs, permettant de se faire plaisir sans se trouver à proximité immédiate de sa (ou son) partenaire. Elle donne ainsi l’exemple du «glory hole», pratique qui consiste à faire un trou dans un mur et y insérer son sexe pour recevoir une fellation.

La recommandation n’a pas manqué de faire réagir avec amusement et dérision les réseaux sociaux, où le terme est rapidement devenu parmi les plus commentés au Canada (dans le tweet ci-dessous, «2020 : l'année où les glory hole deviennent un équipement standard de la maison»).

une liste de conseils pour une pratique sexuelle moins risquée

Dans le reste de son communiqué, qui informe le lecteur sur les pratiques sexuelles à adopter en ces temps d’épidémie, l’agence émet toute une liste de conseils permettant de réduire son exposition au Covid-19, ou celle de sa (ou son) partenaire.

Ainsi, si le «sexe virtuel» - moyen le plus sûr de ne pas infecter ou être infecté - ne convient pas et qu’un besoin de proximité physique se fait sentir, l’agence de santé basée à Vancouver préconise par exemple (et après avoir évidemment demandé à la personne si elle est malade et enfilé un préservatif) de garder son masque durant l’acte, d’éviter des positions «face-à-face» ou de se laver entièrement à l’eau et au savon avant et après l’acte.

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