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«Ghostwire : Tokyo» nous plonge dans un Japon mystique

Jeu d’action avant tout, Ghostwire : Tokyo emmène le joueur au Japon pour une virée entre deux mondes dans la capitale nippone.

Envie de dépaysement ? Direction Tokyo où il se passe des choses étranges… On trouve derrière le jeu Ghostwire : Tokyo -disponible depuis le 25 mars-, le studio japonais Tango Gameworks fondé en 2010 par Shinji Mikami, le créateur de la célèbre série des Resident Evil. Avec ce titre, l’artiste abandonne l’horreur en même temps que les rênes du projet laissés à Kenji Kimura.

Direction le quartier de Shibuya pour un titre qui entend nous immerger dans la culture japonaise. Les adeptes du Japon retrouveront tout au long de leur aventure mille et une petites références à la culture nippone comme ces sympathiques yokai dont on croise ici ou là la route.

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Côté architecture, on retrouve les bâtiments typiques de la ville entre buildings, temples ancestraux, portes Torii, jusqu’à la célèbre Tour de Tokyo, alter ego de notre Tour Eiffel nationale. Les habitants ont quant à eux disparu, remplacés par d’étranges créatures. Tous ces monstres sont inspirés par le folklore japonais. De quoi ravir les adeptes des films d’épouvante japonais même si le jeu lorgne bien plus vers l’action que le frisson.

Une atmosphère étrange

Ghostwire : Tokyo n’entend pas effrayer le joueur mais bien plus le plonger dans une atmosphère étrange et doucement inquiétante. L’adversaire que le joueur affronte est lui aussi bien mystérieux. Tout juste l’aperçoit-on en début d’aventure. Quel est le dessein de l’énigmatique occultiste qui a plongé la ville dans ce chaos surnaturel où deux mondes semblent cohabiter ?

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Le héros de cette aventure, aidé d’une entité spectrale, va devoir mener l’enquête afin de sauver sa vie mais aussi celle de sa sœur. Bien entendu, pour se défaire des maléfices et des créatures qui se dressent sur son chemin, celui-ci va pouvoir user de pouvoirs magiques.

Sous la forme d’un FPS, jeu de tir à la première personne, mais sans arme (voilà qui fait du bien !), le jeu invite le joueur à livrer de nombreux combats. Il faut choisir ses sorts en fonction de ses ennemis pour en tirer le meilleur profit. On trouve aussi ici ou là lors de ces déambulations tokyoïtes des objets grâce auxquels on pourra améliorer ces sortilèges. Cette balade dans Tokyo n’est pas de tout repos mais aussi sans doute ce qui fait son charme.

Ghostwire : Tokyo, Bethesda, sur PS5 et PC.

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