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20% à 30% des cancers diagnostiqués avec du retard durant la première vague de l'épidémie

«N'oublions pas nos patients». C'est le cri d'alerte d'une quinzaine de médecins dans une tribune du Parisien.

La première vague du coronavirus a fait de nombreuses victimes collatérales, notamment atteintes du cancer. Lors de la première vague de l'épidémie en France, les patients du coronavirus ont été traités en priorité, au détriment des autres. Ce scénario de la première vague, les professionnels de santé n’en veulent plus.

Une des conséquences de la première vague est notamment le retard de diagnostique du cancer. En France, au pic de l'épidémie, 20% à 30% des cancers ont été diagnostiqués avec du retard. 

Un retard qui peut avoir de lourdes répercussions pour les patients. Selon une étude de l'Institut Gustave Roussy, le cancer a fait entre 4 et 8.000 morts supplémentaires en France, lors de la première vague.

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